Vous voyez sur la photo le crochet
à coco ou à fruit à pain, bref, les fruits peu susceptibles de s’éclater au
sol, et deux crochets à papaye, à mangue … avec deux tailles de filet
selon la grosseur du fruit.
La cueillette des fruits tropicaux
n’est pas de tout repos pour le voyageur de l’hémisphère nord habitué à
décrocher ses pommes ou ses prunes sans trop de mal, lorsqu’il ne les ramasse
pas à terre tout simplement !
Les outils sont emmanchés d’un
long… manche (4 à 5 mètres, le plus long possible en fait) ; ce manche est
plus ou moins léger selon qu’il est fait en bambou ou en bois plus lourd, il
est presque toujours tordu, et il faut donc gérer la longueur et le poids du
manche pour accrocher le fruit, et le bon, il ne s’agit pas d’en faire tomber
10 pas mûrs avant !
Pour les puristes, un simple
long bâton suffit, sans crochet, sans
filet : et la même personne décroche le fruit, ET le rattrape avant qu’il
ne s’écrase au sol : impressionnant, non ?
Evelyne a une théorie
là-dessus : cet entrainement
seul expliquerait la supériorité
des maoris au rugby… elle a essayé de s’y mettre en proposant son aide pour
attraper une papaye au vol : elle a touché la papaye – quand même !
mais quand la papaye a rebondi et s’est échappée, qu’elle a plongé pour la
récupérer, la deuxième papaye lui est tombée sur la tête… (pas mûre donc bien
dure), elle a renoncé définitivement…
Et Christian sous l’arbre à pain
pour vous donner une idée des dimensions !
1 commentaire:
Merci de nous faire partager tous ces moments et de nous initier à ces façons de faire ! Je vous souhaite de continuer à nager dans le bleu-ciel, le bleu-océan et le bleu-bonheur !
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