jeudi 31 janvier 2013
Fond d'écran
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mercredi 30 janvier 2013
Un moment de détente (Fond d'écran et vidéo)
dimanche 27 janvier 2013
Des bruits dans la nuit…
Dès que l’obscurité se fait, dans les piles de bois, dans
les branches, dans les tôles qui résonnent à leur passage… des ombres qui nous
frôlent à chaque pas, qui s’insinuent
partout, sous la machine à laver, sous la cuisinière, des assaillants
infatigables qui escaladent la porte de
notre chambre et reviennent à l’assaut dès qu’on les a délogés… ils sont
partout sur l’île !
Les guerriers avec la pince en avant.
Les sans-abris dans leur maison de fortune.
Les sans-abris qui font les poubelles, ou la gamelle du
chat.
Les prétentieux modernistes.
GARRY, c’est pas fini !
Vendredi
25 Janvier (suite)
On vous
avait bien dit que c’était un malappris, ce Garry … Après les émotions du matin, Sonja nous dit d’attendre
encore un peu avant de
nous réjouir tout à fait ; nous passons la matinée à flemmarder.
Le ciel est gris clair maintenant, pas trop de vent, et
pas de pluie, presque un temps à aller se baigner.
12h, coup de fil : si, si, Garry va passer, ce soir,
vers 20h… sa trajectoire n’est pas bien définie, il s’arrête, il reprend sa
route….
La trajectoire Internet nous montre pile sur le passage,
mais le site d’origine de Fidji n’est
réactualisé que toutes les 6 h….
Dernier tour dans le jardin, à la plage ; les
cocotiers commencent à s’agiter sérieusement vers 14h30.
Nous mangeons tous ensemble vers 16h, puis nous fermons la
plupart des volets vers 17h30 et nous retirons dans notre chambre ; il y a
de fortes rafales maintenant et il pleut à verse.
Nous commençons la longue nuit qui nous attend, par une
pina colada : on ne va pas se laisser abattre pour si peu !
On branche la radio selon les instructions – l’électricité
fonctionne toujours- surprise, à la radio : rien, que de la musique et un
commentaire banal de temps en
temps ; pas de point météo, pas de conseil, pas d’évacuation proposée.
De 17h30 à 21 h, ça souffle de plus en plus fort mais avec
des intervalles plus calmes : c’est comme cela que fonctionnent les
cyclones apparemment, et lorsque la pause entre deux forts coups de vent n’est
plus que de 1 mn, c’est qu’il est pile
au-dessus ; nous fermons petit à petit tous les volets extérieurs ;
autre surprise : des éclairs, très nombreux, et le tonnerre, différent de
chez nous : pas de grands craquements, mais un grondement sourd, une
vibration un peu comme un train ; Sonja nous dira que c’est très inhabituel
lors d’un cyclone.
Vers 21h, tout se calme presque d’un seul coup ; nous
sommes passés du rhum à un film, chacun sous nos écouteurs…on n’entend plus de
vent, ou quasiment plus ; l’intervalle semble long avant la reprise…
est-ce l’œil du cyclone ? Et bien non, c’est juste la fin… le reste de la
nuit sera un peu venteux, mais sans plus, avec juste un peu de pluie.
Nous nous réveillons le lendemain samedi après une bonne
nuit de sommeil inespérée ; le soleil brille à nouveau comme si de rien
n’était.
Nous n’avons compris ce qui c’était passé que grâce aux
sms échangés avec Sylvie et Michel à Rarotonga : eux aussi sont en alerte,
mais étant à la capitale, ils ont droit à un suivi télé en plus des infos
Internet ; Sylvie nous apprend donc que Garry a eu des hésitations autour d’Aitutaki, s’arrêtant, revenant nous voir avant de
décider de repartir.
Nous n’avons donc eu droit qu’à un échantillon de ses
caprices ; il ne touchera pas non plus Rarotonga.
Peu de dégâts dans le jardin : quelques bambous par
terre, une ou deux branches cassées, les plus touchés sont bien sûr les
bananiers.
A la plantation, situées sur les hauteurs, ce sont là
aussi les bananiers les plus touchés : les bananes mûres ou presque sont
ramassées, celles qui ne sont pas trop mûres mais qui ont encore quelques
racines enterrées sont laissées à terre le temps de mûrir, les plus petites
seront replantées, les autres simplement débitées pour faire du compost.
Christian a le plaisir de voir que tous ceux qu’il a
replantés – il y en a une quinzaine – ont parfaitement résisté : il est
bien connu qu’il plante toujours assez profond pour que ses plantations
résistent à des ouragans pendant des années… - certes, les framboisiers en
Corrèze sont moins sujets à ces aléas climatiques, mais on n’est jamais trop
prudent… surtout Christian !
Le manioc et les ‘tree spinach’ ont eux aussi souffert, on
récolte tout ce qui est susceptible de s’abîmer.
Bref, on a eu de la chance pour un premier cyclone, ce
Garry finalement a plutôt été un type sympa !
vendredi 25 janvier 2013
En attendant GARRY
Mercredi 23
Janvier
On a
raté Evan (ou plutôt Evan nous a ratés),
et on n’en n’est pas trop désolés car il a dévasté Fidji et les Samoa.. .
Oui,
Garry, comme Evan, était une dépression tropicale, et n’ayant pas trop de terre
pour le freiner, il s’est transformé en cyclone…
Depuis
une semaine, on suit son parcours, depuis Wallis (de ‘Wallis-et-Futuna), Fidji,
les Samoa… au cas où vous auriez du mal avec la géographie du Pacifique, ça
veut dire qu’il se rapproche des îles Cook…
Depuis une
semaine, toute l’île est suspendue aux bulletins de suivi météo… Pas facile de
faire des prédictions pour un grain de sable dans l’océan… Apparemment, il
s’est faufilé entre Palmerston et Suwarow (2 des îles du Nord), et il se
rapproche tranquillement, à une vitesse de 6 neuds (≈ 12 km/h).
On continue donc les préparatifs commencés il y a quelques
mois… aujourd’hui, on a retendu les cordes au-dessus du toit, on en a placées au-dessus du hangar, on a attaché ensemble et
à un arbre les bidons de compost, on a continué la coupe les caramboliers, non
pas de peur qu’ils tombent sur la maison, mais parce qu’il est plus facile
d’élaguer avant que de déblayer ensuite les branches cassées et emmêlées au
sol.
Dans le jardin, tout ce qui était récoltable l’a été, les
feuilles de cocotiers qui servaient d’abri aux plantes ont été déposées au
sol, ainsi que les plantes grimpantes ou attachées à un support,
comme les tomates.
Sonja a depuis longtemps fait des provisions de lampes de
poche, piles… On prévoit dans les prochains jours de préparer des réserves d’eau
à boire, rappelez-vous, il faut la faire bouillir 10 mn, puis il faut qu’elle
refroidisse assez pour pouvoir la mettre en bouteille, et avec nos toujours
30°C, ça ne refroidit pas comme ça (il faut toute la nuit ou toute la
journée)! Il faut aussi faire en
fonction du stock de bouteilles vides, donc ça ne se fait pas en un clin d’œil,
en allant acheter 2 packs d’eau au supermarché !
Les dernières nouvelles annoncent Garry toujours en pleine
face, vendredi vers 20h ; ce sont les nouvelles d’Internet surtout ;
LE journal du jour annonce que Garry va probablement éviter Aitutaki – là, le
décalage entre la mise sous presse et la publication se révèle problématique…
Il y a UNE radio locale sur l’île ; elle diffuse
surtout de la musique, et QUELQUES bulletins d’information locale, mais fort
limités…
Et la télé ? Il y a eu une chaîne locale… qui
diffusait après ses heures de diffusion des programmes néo-zélandais… et qui
n’a plus pu le faire (droits de retransmission sûrement), ensuite après une
interruption, elle a diffusé des programmes australiens, avant d’être
contrainte à s’interrompre à nouveau…les gens qui s’en occupaient sont
partis … et il n’y a plus de chaîne télé, on ne capte pas celle de Rarotonga…
donc sans satellite, pas de télé – et pas d’infos locales !
Internet et le bouche à oreille sont donc les sources
d’informations, qui ne se recoupent pas toujours selon l’heure de connexion des
personnes…
Au moins, on n’a pas le bourrage de crâne médiatique français
dès les premiers flocons !
Jeudi 24
Janvier
Donc ce matin, suite de la coupe des caramboliers, des
bambous qui risquent de tomber sur la route ou sur les bananiers, ramassage de
tous les fruits qui vont finir en confiture ou en jus, en espérant que le
courant ne sera pas coupé ou pas trop longtemps, Christian vérifie tous les
volets, les tôles ou morceaux de tôle sont stockés et ancrés, les plantes en
pot sont rangées le long du mur de la maison, les arbres penchés sont étayés,
tout ce qui est au-dehors et qui risque de s’envoler est rangé ; on
vérifie que les couvercles des tanks d’eau sont bien fermés et ne risquent pas
de s’envoler.
Et le temps ? Ben, le ciel est couvert, mais pas
trop, il y a du vent, mais pas trop et pas tout le temps, l’océan dans le lagon est plutôt calme, bref,
sans le suivi météo, on ne se douterait pas qu’un cyclone nous arrive droit
dessus.
En allant ‘en ville’ acheter le journal (il n’y en avait
plus), et une glace (il n’y en a plus sur toute l’île et il n’y en aura plus
avant le prochain bateau dans 3 semaines, le bateau de lundi a fait demi-tour
sans décharger ses marchandises car la mer en dehors du récif était trop
mauvaise)…
Donc, en allant faire nos ‘pas de courses’, on a trouvé plus
de monde sur les toits que sur la route…chacun consolide sa maison, le cyclone
qui a dévasté Aitutaki en 2010 est encore bien présent dans les mémoires.
Ce soir, vers 6h, on a bien bossé, on est à peu près dans les clous, heureusement, car
le coup de fil d’un ami apprend à Sonja que Garry est prévu pour demain à 14h au
lieu de 20h, il a pris de la vitesse.
Le vent souffle maintenant en continu, mais toujours pas
très fort, et il n’a quasiment pas plu depuis quelques jours…
Un dernier coup d’œil sur Internet vers 22h : Garry
est passé en catégorie 3 : depuis deux jours, il s’est renforcé, passant
de la catégorie 1 à la catégorie 3 (sur 5), qui correspond à des vents moyens
entre 120 et 160 km/h.
Tout est calme sur l’île, quelques voitures passent, très
peu, et aucun scooter.
On verra bien ! On a préparé un sac d’urgence en cas
d’évacuation, avec ordinateur, téléphone, chargeurs, de l’eau, des lampes, quelques
gâteaux et raisins secs et portefeuilles ; nos passeports, le document le
plus précieux de tout français à l’étranger ? Ah non, pas nos passeports,
ils sont toujours à Rarotonga, à l’immigration (on espère, et on espère aussi
que leurs locaux sont sécurisés !
Vendredi 25
janvier
4h du matin… le vent souffle très fort, il pleut à seau…
Garry serait-il en avance ? Il fait encore nuit noire bien sûr et on n’a
pas très envie de se lever et d’aller se barricader, mais s’il le faut…
Puis non, le vent se calme d’un coup, la pluie
aussi ; le reste de la nuit, il y aura encore beaucoup de vent, mais un
vent ‘normal’.
7h30 : toujours gris et du vent en rafales, mais pas
plus que ça…
Un membre du conseil municipal arrive sur son
scooter : Garry sera là à 8h, il faut se tenir prêts !
Flûte alors, quel malappris, ce Garry… on n’a pas déjeuné,
on n’est pas encore allés voir le lagon… tout à l’air encore bien calme, 27
degrés, gris, du vent, quelques gouttes… ça doit vraiment arriver vite, un
cyclone.
On fait chauffer l’eau du thé et on descend à la plage, en
essayant de ne pas s’attarder sous les cocotiers du
chemin..
Les vagues grossissent sur le récif, mais de là, rien de
commun avec l’Atlantique déchaîné en Bretagne par exemple.
Nous remontons déjeuner, Sonja se connecte, et dit qu’on
pourra commencer à fermer un volet sur deux après. Il ne faut pas fermer top
tôt, car sinon, on n’a plus d’air et on étouffe ; il sera bien temps tout
à l’heure.
Elle se connecte en même temps qu’elle parle, et là,
surprise… Garry a faibli, et il est passé au nord-est d’Aitutaki, en continuant
sa route vers l’est ; nous n’avons plus qu’un avis de coups de vent et de
grosse mer ; et il va aussi épargner Rarotonga apparemment !
………… sauf s’il se ravise et fait demi-tour, ou
rencontre une autre dépression qui le renforce encore et lui donne aussi envie
de rebrousser chemin…
Parce qu’ils sont comme ça les cyclones… ils n’en font
qu’à leur tête de cyclones….
jeudi 24 janvier 2013
Aitutaki vu du ciel
L’Atoll d’Aitutaki, avec ses 15 motus (îlets) et son
magnifique lagon ! (photo récupérée sur internet).
Brève rencontre avec une murène
Lors d’une plongée en apnée dans le lagon, j’ai pu voir, à
proximité d’un banc de poissons, une murène qui m’a paru assez conséquente. Ne
connaissant pas trop les réactions de la bête, j’ai préféré filmer à distance.
mardi 22 janvier 2013
Repas
Aujourd’hui à midi, nous avons mangé lors d’un moment plus
calme au restaurant, et nous avons pris le temps de faire la photo du ‘chef’ du
jour, Temata, et du plateau qu’elle nous a préparé.
Voilà le détail de ce que nous avons mangé : dans l’assiette à droite au premier plan : les salades : carottes, carambole épicée, avocat (de la plantation !)
Voilà le détail de ce que nous avons mangé : dans l’assiette à droite au premier plan : les salades : carottes, carambole épicée, avocat (de la plantation !)
A gauche, des bananes avec de la cannelle et du sucre.
Nos assiettes, identiques, derrière : le plat du
jour : lasagnes de fruits à pain, sans produit laitier mais avec de
la crème de coco à la place, et sans
pâtes (remplacées par le fruit à pain coupé très fin) ; des épinards, et
des ‘tree spinach’(épinards qui poussent sur des arbustes) ; concombre
avec du citron vert ; bananes-légumes ; au premier plan, des caramboles
– c’est la pleine saison), papaye, ‘Surinam cherry’ (l’espèce de petite tomate
côtelée, un petit goût acidulé), et noix de coco fraîchement râpée.
Et le pain maison du jour !
On a tout fini… et après, on est remonté dans les arbres
pour faire un peu d’éclaircie, au cas où les dépressions tropicales qui nous
tournent autour ( à Wallis et Futuna, Fidji, les Samoa..) s’approchent de plus
près …
dimanche 20 janvier 2013
Poisson unicorne
La sortie d’hier dans le lagon (prés de la barrière de
corail) nous a permis de voir 3 poissons
« unicornes » et de photographier celui là.
Je ne connais pas la taille normale pour un poisson adulte,
mais celui-ci était assez massif, et long d’environ 1 mètre.
samedi 19 janvier 2013
Un point météo
En ce moment, on profite pleinement de la météo tropicale.
Après un période de sécheresse et de forte chaleur en octobre et novembre, nous
sommes maintenant sur la saison des pluies jusqu’à mars /avril, qui est
également la saison des cyclones.
L’arrivée de la saison des pluies s’est confirmée en début
de mois avec des pluies quasiment tous les jours, entrecoupées de périodes
ensoleillées avec de fortes chaleurs (35 à 36 degrés). Cette semaine, nous
avons connu une dépression tropicale, qui se traduit par des vents assez
forts et des pluies très abondantes jour
et nuit pendant 3 jours.
Cette météo particulière nous oblige à changer notre
organisation de travail, en privilégiant forcement les travaux d’intérieur et
en jonglant autant que possible avec les périodes où il ne pleut pas. La bonne
nouvelle, c’est que les réservoirs d’eau sont tous pleins.
La température ambiante reste pourtant élevée puisqu’il fait
28 degrés dés 8h du matin, et le taux d’humidité est supérieur à 90%. Cela nous
donne une impression de chaud/humide, ou rien ne sèche, et ou le linge sec
s’humidifie. Ainsi, nous couvrons notre
lit le matin afin que les draps ne soient pas trop humides le soir.
Cette chaleur couplée à l’humidité ambiante nous fait
transpirer dès le moindre effort.
La mer est également très agitée et le niveau du lagon est
monté à en faire disparaître les plages.
Pour les quelques personnes qui connaissent, nous mettons
une photo de la plage au niveau du restaurant, avec l’eau qui descend de la
crique, et la mer qui la remonte, ce que nous n’avions pas encore vu jusqu’ici.
Les 2 marches sur la droite sont celles qui mènent au Garden cafe.
Fin ou accalmie seulement, nous ne savons pas encore, mais
aujourd’hui, le soleil est revenu, le lagon a repris sa place et nous avons
même repris notre baignade quotidienne en fin d’après midi. L’eau, remuée depuis
plusieurs jours reste pour le moment un
peu trouble, avec le sable encore en suspension.
Vidéo sous marine
Voici une nouvelle vidéo de quelques secondes d'un banc de poissons, prise la
semaine dernière dans le lagon :
jeudi 17 janvier 2013
La perle noire des îles Cook
Un fermage spécifique des îles Cook : la perle noire.
La première ferme commerciale des îles Cook a été établie
sur Manihiki (île du Nord des iles Cook)
en 1989.
Il faut environ 3 ans pour qu’une perle soit formée après
qu’elle ait été mise dans une huitre.
On choisit une perle selon plusieurs critères (qui en
définissent le prix également) :
-
sa taille (plus elle est importante, plus la
perle a de la valeur)
-
sa forme (la rondeur est également un élément
important)
-
sa patine, son lustre (son teint doit être le
plus brillant possible)
-
sa régularité (moins elle présente de défaut à sa
surface, mieux elle sera cotée)
-
sa couleur (une couleur foncée est préférable à
une couleur claire)
mercredi 16 janvier 2013
Le manioc
Hier à la plantation, on a arraché du manioc (« arrow
root » ici), des arbustes de 1 à 2 mètres environ, qui donnent au bout de 9 mois des tubercules comme les
pommes de terre, mais allongés et très profonds ; il faut les mettre dans
l’eau rapidement après la récolte sinon ils durcissent et deviennent immangeables.
On les a replantés aussitôt (le photographe était occupé
ailleurs !) : on coupe des tronçons de branches d’environ 50 cm, pas
trop près des racines (trop durs), pas trop près du sommet (trop tendres), on
les effeuille à la machette et on les replante penchés, comme sur la
photo : en fait, les tubercules poussent comme des doigts sur une main, et
on les plante penchés pour qu’il soit plus facile de les soulever en passant la
fourche dessous lors de la récolte.
Les voilà presque épluchés…
Et dans l’assiette, après une simple cuisson à l’eau ;
il y a bien d’autres préparations possibles !
lundi 14 janvier 2013
Poisson carré
dimanche 13 janvier 2013
Fruit de la passion
Les fruits de la passion viennent sur une liane très
vigoureuse qui atteint 5 à 6 mètres de long. La liane peut grimper sur un arbre
et l’étouffer si on ne lui offre pas un support adapté.
Nous en mangeons depuis environ un mois, et sommes en pleine
saison.
Un fruit de la passion ainsi qu’une fleur.
Ouverte en deux, on mange les graines, la pulpe et le jus.
C’est un très parfumé, sucré et juteux.
vendredi 11 janvier 2013
TUTAKA day
“Aitutaki
General Health Tutaka Programme”
consiste en une visite trimestrielle de chaque habitation de l’île par un
représentant des services de santé et de l’environnement afin de vérifier que
chacun entretienne correctement son terrain.
Ils vérifient notamment que les parcelles de terre soient
entretenues, qu’il n’y a pas de réservoir d’eau en plein air favorisant le
développement des moustiques etc….
Les dates de visite sont affichées au niveau de la poste, à
raison d’une ville par jour.
Durant la semaine qui précède la visite, lorsqu’on se
promène en vélo le long de l’île, on voit alors une danse de tondeuses, débroussailleuses et des tas d’herbes fumant un peu partout.
C’est la préparation du TUTAKA day !
jeudi 10 janvier 2013
Dans le lagon
Un essais de vidéo (faite hier) de quelques secondes...
Vous nous direz si vous pouvez la visionner
Vous nous direz si vous pouvez la visionner
mercredi 9 janvier 2013
Réponse au Quizz n°6
Sacrée mâchoire en effet...
Il s’agit d’un clam géant (bénitier) à l’intérieur du
lagon.
Il y en a assez peu en fait, et ils sont protégés.
mardi 8 janvier 2013
Coucher de soleil
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lundi 7 janvier 2013
Post special pour Stacey and Scott
Un souvenir de
l’atmosphère du lagon !
Bon retour en Australie, et bon courage pour le travail !
On vous attend dans l’hémisphère nord.
dimanche 6 janvier 2013
Grandes vacances
Elles se terminent le 24 et 25 janvier pour les enseignants,
et les enfants rentrent le lundi 28 janvier.
Instructions publiées sur le panneau d’affichage devant la
poste (un panneau en bois, pas électronique !) :
« Se trouver sous le manguier à 8h00, en uniforme
complet » !
Ca ferait «
presque » envie….
Le mille pattes
Le mille pattes est l’animal le plus à craindre sur Aitutaki
Il n’est pas mortel, mais sa morsure donne des douleurs
atroces pendant plusieurs jours sur un membre qui double ou triple de volume
selon les témoignages que nous avons eus.
On le trouve souvent sous des troncs, planches ou cartons
posés sur le sol. Le mille pattes fuit l’homme dès que possible, ce qui n’a pas
rendu aisé les séances photos.
Contrairement aux apparences, c’est dans cette position que
le mille pattes est le plus dangereux. Car cette femelle, enroulée dans une
feuille, protège en fait ses petits qu’elle a contre elle. Si elle se sent
menacée, elle est alors capable de sauter. Nous avons appris cela alors que je
prenais la photo ci-dessus.
samedi 5 janvier 2013
Sports sur Aitutaki
Le long de la grande route… deux terrains de sport, séparés
d’environ 100 mètres, avec d’un côté la
route, et de l’autre les cocotiers, qui
bordent la plage.
Au centre de chaque terrain, un marquage pour le cricket…. l’Empire a laissé des traces !
En cette période de vacances, c’est le cricket qui est
omniprésent, les hommes jouent tous les soirs sur le terrain de rugby, devant
une foule de spectateurs, en scooter, en pick-up, à pied, assis sur
des chaises en plastique, sur les tombes avoisinantes…
Les filles jouent tous les soirs aussi sur le terrain de
foot, devant une audience clairsemée….
Certaines choses sont universelles….
jeudi 3 janvier 2013
Sortie avec masque et tuba (snorkeling) suite…
Des poissons toujours aussi colorés dans une eau magnifique.
Evelyne sur un banc… de poissons !
Curieux, ils viennent voir de près ce qui se passe.
mercredi 2 janvier 2013
Koni Raoni
Tous les
ans, deux des 7 villages de l’île font le tour de l’île en chantant et en
dansant ; tous les habitants du village se doivent de participer, des
enfants aux… moins jeunes ! Cet événement est appelé le Koni Raoni.
La
chorale :
Un des villages
donne sa représentation le lendemain de Noël, qui est férié, et l’autre le 1er
janvier.
La
représentation a lieu en plein air. . Lors de chaque représentation, une quête
est faite, et le total de l’argent recueilli sert à financer un projet pour le
village organisateur.
A la fin de
chaque représentation donnée dans chaque village, les spectateurs sont invités
à venir se servir à boire et à manger au buffet spécialement préparé pour
l’occasion.
Tout ce qui
roule sert à transporter les personnes vers le prochain village : il y a
vraiment eu un embouteillage sur Aitutaki !
mardi 1 janvier 2013
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