Dès que l’obscurité se fait, dans les piles de bois, dans
les branches, dans les tôles qui résonnent à leur passage… des ombres qui nous
frôlent à chaque pas, qui s’insinuent
partout, sous la machine à laver, sous la cuisinière, des assaillants
infatigables qui escaladent la porte de
notre chambre et reviennent à l’assaut dès qu’on les a délogés… ils sont
partout sur l’île !
Les guerriers avec la pince en avant.
Les sans-abris dans leur maison de fortune.
Les sans-abris qui font les poubelles, ou la gamelle du
chat.
Les prétentieux modernistes.
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